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L'objectif visé est ici de modestement poser des frontières qui différencient le libéralisme et le libertarianisme.

Le libertarianisme et le libéralisme sont deux philosophies politiques et économiques qui partagent certains principes fondamentaux, mais qui diffèrent également sur plusieurs points importants. Bien que ces deux courants de pensée prônent la liberté individuelle et la limitation du rôle de l'État, leurs interprétations et leurs applications divergent considérablement. Dans cet article, nous explorerons donc les principales différences entre le libertarianisme et le libéralisme et nous alimentons la réflexion avec quatres articles sur le sujet (voir les précautions d'usage en pied de page de cet article).

La pratique comme seul critère pour éprouver la Vérité, doctrine venue de Chine, est intéressante à analyse et je vous en propose un résumé en 4 points. L'objectif visé est ici de modestement poser des éléments de réfléxions sur la Vérité (voir les précautions d'usage en pied de page de cet article).

1. La primauté de la pratique sur la théorie

Le texte défend l'idée que la pratique, c'est-à-dire l'expérience concrète et l'application dans la réalité, est le seul véritable critère pour juger de la validité d'une théorie ou d'une idée. Les connaissances purement théoriques ou abstraites n'ont de valeur que si elles se vérifient dans les faits, dans l'action pratique.

Selon cette conception, toute connaissance, qu'elle soit issue de la philosophie, des sciences ou d'autres domaines, doit impérativement être confrontée à l'épreuve de la pratique pour être considérée comme vraie. Les idées brillantes sur le plan intellectuel n'ont de poids que si elles se traduisent concrètement dans la réalité.

Le texte s'oppose ainsi aux conceptions idéalistes qui placent les idées avant la réalité matérielle, ainsi qu'au scepticisme qui remet en cause la possibilité de connaître le réel. C'est la pratique qui permet d'accéder à la vérité objective, en dépassant les simples spéculations théoriques.

Dans cet article du Grand Continent, je retiens principalement la problématique du "dualisme juridique" qui se met en place en Pologne avec le risque de contagion dans d'autres pays européens. Bien entendu, cet article traite de sujets plus larges dont vous pourrez prendre connaissance sur le site du journal directement.

En 3 points, voici une proposotion d'analyse.

1. Interprétations divergentes du cadre légal par les camps politiques

Dans cette vidéo de la chaine EUCLID disponible sur Youtube, Emmanuel Todd nous invite à réfléchir sur le nihilisme croissant en Occident et sur la pertinence de l'appartenance de l'Europe au système militaire américain. Voici les huit points saillants qui méritent d'être retenus :

1. Les écarts de force entre la Russie et l'OTAN sont en faveur de cette dernière, selon Emmanuel Todd. La Russie est consciente qu'elle ne dispose ni des moyens militaires ni démographiques pour envahir des pays membres de l'OTAN.

Je propose ici une analyse en 5 points de l'impact des sanctions contre l'Iran sur les entreprises et la diplomatie européennes :

1. Un cadre juridique européen aux effets limités

Après le retrait américain de l'accord nucléaire iranien en 2018, l'UE a réactivé son "règlement de blocage" pour contrer les sanctions extraterritoriales américaines. Mais ce texte présente de sérieuses lacunes :

- Il ne protège pas les entreprises européennes des conséquences pénales et financières aux États-Unis.
- Son droit d'indemnisation se heurte à l'immunité de juridiction américaine.
- Devant le risque de représailles américaines, la plupart des entreprises préfèrent se conformer aux sanctions plutôt que de risquer des amendes européennes.

Bref, en l'absence de garanties effectives, le règlement de blocage n'incite guère les entreprises à reprendre les échanges avec l'Iran.